Le bagne de Toulon

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Durant plus d'un siècle (1748-1873) Toulon a eu le triste privilège d'avoir un bagne. L'exposition est illustrée par les dessins de Pierre Letuaire (1798-1885) qui en tant qu'artiste et correspondant de presse du magazine "L'illustration de Paris" a été l'un des rares à pouvoir entrer dans le bagne pour observer et croquer le quotidien des forçats. Il ne reste aujourd'hui du bagne qu'un bâtiment appuyé sur un fragment de l'ancien rempart sud-est de la darse Vauban.

Les forçats étaient au nombre de 4305 en 1836 condamnés à différents délais de détention. En 1866, les condamnés le sont essentiellement pour vol et dans la répartition des sorties des 1258 condamnés, on note 166 morts au bagne.

Quelques causes de condamnation en 1785.

Quelques causes de condamnation en 1825.

La chaîne, c'est le convoi des prisonniers vers le bagne.

Intérieur d'un bagne flottant..

Convoi de forçats dirigés vers le bagne.

Le cachot du bagne.

Salle du bagne.

Trois bagnards au repos.

Un évadé célèbre .

La cour du bagne.

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Parloir.

La salle des indisciplinés.

Une cuisine pour les forçats.

La "grande fatigue" désigne tous les travaux les plus durs réservés à tout nouveau condamné entrant au bagne.

Charpentage.

Le scieur de long.

La forge.

Chantiers des embarcations.

Avironnerie.

Travail des mâts.

La corderie.

L'hôpital du bagne.

Le bagne des enfants - Les colonies agricoles de l'île du Levant (Var) 1861-1878. Le pénitencier accueille les petits délinquants.

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Photographies 3 février 2023.