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Le musée de l'Œuvre Notre-Dame (5) - Strasbourg

15 Février 2024 , Rédigé par ba-idane Publié dans #Strasbourg

Le 2ème étage du musée est consacré aux arts de la fin du Moyen Age.

Epitaphe au pissenlit - Cimetière Strasbourg (1470-1480).

Vitraux alsaciens des XIV et XVe s. provenant en particulier de l'église Sainte-Madeleine de Strasbourg.

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Noli me tangere ou le Christ jardinier.

Le lavement des pieds.

Adam au jardin du paradis.

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Roi Mage Balthasar.

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Autre salle : peinture, sculpture et arts décoratifs du XVe s. en Alsace.

Saint-Martin partageant son manteau.

Tapisserie de la légende de Sainte Attale, vers 1450 (détail).

Détail.

Tête de sainte Marie-Madeleine et tête de femme en pleurs.

Le doute de Joseph, vers 1430.

Détail.

Détail.

La Nativité de la Vierge.

Détail.

Le Christ et saint Jean, vers 1430.

Vierge de piété.

Vierge à l'Enfant, provient de Mutzig (vers 1460).

Nativité.

La mort du riche et du pauvre, école strasbourgeoise (1474).

Détail.

Le martyre de sainte Ursule et des 11 000 Vierges.

Les amants trépassés.

Détail.

Le revers du portrait de fiancés dissimulait à l'origine la figuration du couple après son trépas. Le panneau a été scié dans son épaisseur sans doute pour vendre les deux œuvres séparément. Ce type de tableau invitait à la méditation sur la vanité des choses terrestres.

Tête de sainte Madeleine.

Christ des Rameaux.

Bustes d'hommes accoudés (attribué à Nicolas de Hagueneau).

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Tête d'homme barbu au turban (Nicolas Gerhaert de Leyde).

Buste d'ange.

Tête de femme (entourage de Hans Wydyz).

Groupe du centurion avec Nicodème et Joseph d'Arimathie au pied de la croix.

Groupe de la Vierge et de saint Jean au pied de la croix.

Sainte Barbe (attribué à Nicolas de Hagueneau).

Retable de Saint Sébastien.

Détail.

Vierge à l'Enfant, Bavière (vers 1520).

Avant de quitter le musée, vue sur l'un des escaliers de l'édifice.

Photographies 4 janvier 2024.

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Rendre hommage

14 Février 2024 , Rédigé par ba-idane Publié dans #Société

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Le musée de l'Œuvre Notre-Dame (4) - Strasbourg

12 Février 2024 , Rédigé par ba-idane Publié dans #Strasbourg

Petite salle du musée consacrée à la statuaire du XIVe s. Cette salle est située sur le flanc du passage menant au jardin de l'édifice.

Gisant, vers 1320.

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Parois sculptées du sarcophage du gisant du Christ, provenant de la chapelle Sainte-Catherine.

Les soldats endormis.

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Ribaude ou "Hirondelle de la cathédrale".

Saint Jean-Baptiste.

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En passant d'une salle à l'autre, on aperçoit à l'extérieur les galeries en bois sculpté de style "cartilage".

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Accès au 1er étage et à la petite section consacrée aux objets d'art.

Hanap, vigneron porteur de hotte, bois et argent (XVIIe s.)

Hanap sur pied.

Objets d'orfèvrerie avec émaux.

Boite à hosties (XVIe s.)

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Porte de tabernacle, vers 1400.

Dans l'escalier qui mène au 2ème étage, on peut admirer la fresque représentant la Dormition de la Vierge (1480).

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Photographies 4 janvier 2024.

Le musée de l'Œuvre Notre-Dame (3) - Strasbourg

9 Février 2024 , Rédigé par ba-idane Publié dans #Strasbourg

Cette salle présente les chefs-d'œuvre de la statuaire gothique de la cathédrale. Les statues ont été enlevées de la cathédrale au début du XXe s. pour les protéger contre les intempéries et la pollution, elles sont remplacées par des copies en grès.

On pénètre dans la salle en passant sous l'ancien jubé partiellement reconstitué.

Couronnement de culée d'arc-boutant de la nef.

La salle évoque une chapelle avec, au fond, le gâble du portail principal.

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Atlante, bras sud du transept.

Têtes d'apôtres, portail du transept sud.

L'Eglise et la Synagogue, portail du transept sud.

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Le sacrifice d'Isaac.

Vertus terrassant les Vices. Façade occidentale, portail latéral nord.

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Deux Vierges folles de la façade avec leur tentateur.

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Les Vierges sages, façade occidentale, portail latéral sud.

Portail principal, lionceaux et êtres hybrides.

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Adam mis par Dieu dans le jardin d'Eden - La Tentation.

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Photographies 4 janvier 2024.

Le musée de l'Œuvre Notre-Dame (2) - Strasbourg

7 Février 2024 , Rédigé par ba-idane Publié dans #Strasbourg

Situé place du château à Strasbourg, ce grand musée consacre 42 salles aux arts du Moyen-Age au XVIIe s.

Salle du musée consacrée aux vitraux romans et gothiques (XIIe -XIVe s.).

Détail du Couronnement de la Vierge.

La Visitation, la Vierge.

La Visitation, Sainte-Elisabeth.

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Empereur en majesté, provenant de la période romane de la cathédrale.

Marie-Madeleine aux pieds du Christ.

Crucifixion.

Le baiser de Judas.

Crucifixion. Sous les bras du Christ torturé, la Vierge et Saint-Jean, dans un médaillon polylobé.

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Cour principale de l'édifice Renaissance abritant le musée.

La salle de la loge des maçons et tailleurs de pierre de la cathédrale.

Exposition des statues originales de la cathédrale.

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Vierge à l'Enfant du portail Saint-Laurent de la cathédrale.

Elément d'un saint sépulcre avec deux soldats endormis.

Roi d'une Adoration des Mages.

Homme au cadran solaire.

Spectateur, tour de l'Octogone;

Ange.

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Sculptures du portail Saint-Laurent de la cathédrale.

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Photographies 4 janvier 2024.

Le musée de l'Œuvre Notre-Dame (1) - Strasbourg

4 Février 2024 , Rédigé par ba-idane Publié dans #Strasbourg

Ce musée des arts du Moyen Age à la Renaissance occupe un édifice de 1582. Il regroupe en particulier des collections provenant de la cathédrale romane puis gothique.

L'épanouissement de l'art roman alsacien se situe entre 1150 et 1220-1230. Par comparaison, l'art roman tend à disparaitre en Ile-de-France dès les environs de 1140.

Au rez-de-chaussée, dans une salle consacrée à l'art roman en Alsace, une partie du cloître de l'abbaye d'Eschau est reconstituée.

Chapiteau du cloître.

Cuve baptismale de l'ancienne église de Mutzig.

Cuve baptismale avec scènes de la vie du Christ.

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Chapiteau aux tritons.

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Linteau à figuration allégorique.

Corbeau à tête animale à cornes.

Base de colonne zoomorphe.

Corbeau à tête masculine.

Chapiteau avec homme-singe.

Linteau avec animaux.

L'Annonciation.

Fenêtre romane - Vierge à l'enfant.

Fenêtre cintrée avec colonnette.

Tête d'homme dite "Christ de Wissembourg" (3ème tiers du XIIe s.).

Longtemps considéré comme le plus ancien fragment de vitrail figuratif connu en Occident (vers 1060), une étude approfondie a permis une nouvelle datation.

Photographies 4 janvier 2024.

Le Musée alsacien de Strasbourg

29 Janvier 2024 , Rédigé par ba-idane Publié dans #Strasbourg

Le Musée alsacien, situé quai Saint-Nicolas, est installé dans deux demeures accolées du XVIIe s.

Ce musée d'art et de traditions populaires préserve des intérieurs d'époque.

Terre cuite vernissée, tuile faîtière au cavalier (XVIIe s).

Le chauffage. La chaleur est diffusée par l'intermédiaire de foyers fermés. Poèle avec siège (1872).

Terre cuite vernissée (détail).

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Poêle mobile, faïence, vers 1830.

Buffet deux-corps paysan (1787) en bois polychrome.

Boites et coffrets.

Lit intégré dans les boiseries de la pièce.

Chaise dont le dossier sculpté rappelle certaines pâtisseries salées.

Pièce à vivre de style Renaissance composée à partir d'une maison cossue de vignerons du XVIIe s.

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Poêle (détail).

La cuisine (vaisselier, couteau à pain).

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Pierre d'évier ancienne.

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Poteries en grès de Betschdorf destinées à la conservation des aliments et à la présentation des boissons.

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Cour à galeries de bois sculpté entre les deux demeures accolées.

Evolution du costume, vers 1820.

Vers 1860.

Les jouets.

Armoire en bois polychrome avec inscriptions sur la corniche.

Galerie présentant une série de dégorgeoirs de moulins.

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En allant vers la sortie, l'atelier du forgeron. Croix tombale en fer forgé.

Photographies 3 janvier 2024.

De Toulon à La Londe les Maures

22 Janvier 2024 , Rédigé par ba-idane Publié dans #Expositions

"De Toulon à La Londe les Maures - André et Gaudensi ALLAR 1850-1900", exposition au Musée d'Art de Toulon jusqu'au 25 février 2024.

Le début de l'exposition retrace l'histoire du château des Bormettes à La Londe les Maures. Le peintre Horace Vernet conçoit une demeure de type maison-forte médiévale à la fin des années 1850.

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L'industriel Victor Roux remanie et agrandit le château entre 1874 et 1890. Ses maitres d'oeuvre Paul Sédille et Gaudensi Allar ajoutent de nombreuses références Renaissance et orientalistes, notamment par l'adjonction de décors en terre cuite émaillée provenant de la manufacture Loebnitz.

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Marius Barthalot - Le statuaire Allar (1920).

Joseph Laugier - Facsimilés de carnets éphémérides.

Laugier devient un familier de Victor Roux et de sa famille ce qui lui permet de documenter pendant près de 20 ans, le site des Bormettes.

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L'exposition s'intéresse ensuite à l'entreprise de faiences décoratives Jules Loebnitz.

Panneau enseigne.

Mallette d'échantillons.

Détail.

André Allar - Jules Loebnitz vers 1896.

André Allar et Jules Loebnitz - La rose et le lys vers 1884.

André Allar - L'étude (1884).

Les frères André et Gaudensi Allar, grand prix de Rome pour l'un et architecte pour l'autre, s'associent pour offrir à leur ville natale Toulon quelques-uns de ses plus remarquables monuments.

Les médaillons polychromés animent l'architecture du musée-bibliothèque.

A gauche Veyrier, à droite Simon Julien.

A gauche, Hubac - à droite, Nicolas Laugier.

A gauche, Toro - à droite, Fragonard.

Photographies 21 janvier 2024.

La cathédrale de Strasbourg.

16 Janvier 2024 , Rédigé par ba-idane Publié dans #Strasbourg

C'est en 1015 qu'un édifice roman d'ampleur est édifié à la place d'une ancienne cathédrale du VIIe s. et une nouvelle reconstruction est réalisée en gothique au début du XIIIe s.

Grâce à sa flèche culminant à près de 143 m, la cathédrale de Strasbourg a été l'édifice le plus haut du monde jusqu'en 1847 (soit durant 600 ans).

Consacré "temple de la Raison" pendant la Révolution, la cathédrale a échappé aux saccages. La façade avec ses 3 portails et sa rosace sont réalisés sous la direction de l'architecte Erwin de Steinbach. Il imagine décaler les nombreuses sculptures à 30 cm de la façade, d'où un aspect d'une grande légèreté.

Le tympan du portail central évoque la passion du Christ. A ses pieds, on remarque le squelette d'Adam.

Le portail droit est célèbre pour sa parabole des Vierges sages (à droite) et des Vierges folles.

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Verrière et frise au niveau de la nef.

Le flanc sud de la cathédrale depuis la place du Château.

Sur une construction encore romane, les tympans sont ajoutés à l'époque gothique.

Les statues encadrant les portes méritent d'être détaillées.

Au centre figure Salomon en son jugement, les 2 mères se disputant l'enfant à ses pieds.

A gauche, très élancée, l'Eglise triomphante avec la croix.

A droite, la Synagogue au déhanchement étonnant, tête baissée, couronne perdue, lance brisée. Les originaux de ces statues se trouvent au musée de l'Œuvre Notre-Dame.

Chaque année à Noël, sont exposées dans la nef les 14 grandes tapisseries de la Tenture de la Vie de la Vierge, réalisées entre 1638 et 1657 à la demande de Louis XIII. Destinées à Notre-Dame de Paris, elles en furent retirées en 1699 et rachetées par le chapitre de la cathédrale de Strasbourg.

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Le chœur présente encore un style roman. Le décor néo-byzantin est du XIXe s.

A l'arrière de la façade principale, les vitraux de la magnifique rosace de 14 m de diamètre évoquent des épis de blé. L'orgue en bois sculpté polychrome est le plus ancien orgue conservé au monde (buffet de 1491 et cul de lampe de 1385).

Le cul de lampe présente un Samson chevauchant un lion et sur les côtés, 2 statues articulées.

La chaire, de style flamboyant, a été sculptée en 1485 pour le prédicateur Geiler de Kaysersberg qui prêcha plus de 30 ans.

Détail des sculptures de la chaire.

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Soubassement de la chaire.

La plupart des vitraux sont d'origine (fin XIIe et surtout XIIIe s.). Dans le bas-côté sud, la verrière aux couleurs chatoyantes raconte la vie de la Vierge et du Christ.

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Vitraux de la chapelle Sainte-Catherine (1340) alternant fonds rouges et bleus sombres.

Retable figurant Saint-Roch, Saint-Maurice et Saint-Nicolas.

Pietà à l'entrée de la chapelle Sainte-Catherine.

Grand retable de la chapelle Sainte-Catherine.

Détail.

Bas-côté sud.

Le pilier des Anges (XIIIe s.) devant l'horloge astronomique. Sur ce pilier se superposent des statues représentant le Jugement dernier.

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Dans la partie inférieure, les évangélistes et leurs attributs, au niveau intermédiaire, les anges sonneurs de trompette.

L'horloge astronomique a été conçue en 1547 avec un buffet peint par Tobias Stimmer et un mécanisme refait en 1838-1842 par le Strasbourgeois Jean-Baptiste Schwilgué.

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Documentation : Guide du Routard Alsace. Photographies 3 et 4 janvier 2024.

Souvenir d'Alsace, province meurtrie et mythifiée.

11 Janvier 2024 , Rédigé par ba-idane Publié dans #Expositions

Exposition au Musée alsacien de Strasbourg jusqu'au 1er avril 2024.

"Sale boche ! Si, heureusement, l'insulte ne fait plus guère recette aujourd'hui, la germanophobie eut longtemps pignon sur rue de côté-ci du Rhin. Avec pour point de fixation l'Alsace, après la défaite de 1870. Charles Fréger montre la genèse et surtout les rouages de cette propagande qui s'est soldée par la mort et le malheur de millions de personnes. Quatre ans durant, le photographe a réalisé un minutieux travail d'enquête dans les archives et sur le terrain." (Extrait de l'article de Télérama du 24 août 2023).